La peinture corporelle ou body-painting est une des premières formes d’expression plastique utilisées par nos ancêtres.
À l'aube de l'humanité, nos ancêtres découvrent la terre colorée, le charbon de bois,
la craie, le jus des baies colorées, le sang des animaux et bien d'autres couleurs qui
servent peut-être à impressionner l'ennemi, sous forme de peinture de guerre, ou
de signe reconnaissance à l'intérieur d'une tribu. Cette technique de maquillage
primitif a pu aussi servir de camouflage pour la chasse.
Probablement même avant que la première pierre ne soit gravée, l’homme applique
ainsi des pigments sur son corps pour affirmer son identité, l'appartenance à son
groupe et se situer par rapport à son entourage. Cette pratique picturale devient un instrument de transformation. Les dessins et les couleurs permettent de changer
d'identité, de marquer l'entrée dans un nouvel état ou groupe social, de définir une position rituelle ou de réaffirmer l'appartenance à une communauté déterminée,
ou servent tout simplement de parure.
La peinture corporelle, ressurgie en Occident à l'époque contemporaine, y est
devenue objet de création. Art éphémère, le peintre crée une œuvre picturale sur
son modèle. Plusieurs festivals lui sont consacrés, dont celui de Seeboden en
Autriche World bodypainting festival et celui de Bruxelles en Belgique lors du
Festival international du film fantastique, The International Body Painting Contest.
Les principaux thèmes de Johannes Stötter, un artiste peintre italien, sont la nature, les paysages ainsi que les fruits et légumes. Il utilise la forme humaine comme sa toile qu’il camoufle au coeur de ces différents environnements.Chaque réalisation de l’artiste reflète une unité parfaite entre l’homme et la nature. Son dernier chef-d’œuvre en date : une grenouille humaine réalisée à partir de cinq de ses modèles. Chaque personne est positionnée de manière précise, si bien qu’il est difficile de les reconnaître.
IL Y A 5 FEMMES SUR CETTE PEINTURE
La maquilleuse londonienne, Carolyn Roper a réalisé une série de mises en scène
pour la promotion de la série "Covert Affairs" ou pour TV channel Really
L’artiste péruvienne Cecilia Paredes se camoufle en fonction des différents papiers-peints
qui constituent l’arrière-plan de ses photos.
Entre trompe-l’oeil et body-painting, l'artiste peintre Japonais Choo San réalise de superbes
peintures et maquillage sur le corps, en créant des illusions et jouant sur l'effet d'optique et
d'ombres de ses œuvres. Il n'y a aucune retouche numérique via photoshop ou autre.
Transformant son corps par la peinture avec des effets de trompe l’oeil, Choo-san questionne
les limites du corps et l’intégration de la robotique et de la technologie dans nos vies.
Gesine Marwedel , artiste allemande, Elle utilise le corps humain comme une toile.
Elle ne se sert pas de ses modèles pour les fondre dans le décors, mais pour les transformer,
réalisant également des peintures représentant la nature ou encore l’astronomie, toujours
en prenant le corps pour support.
Danny Quirk, un illustrateur spécialisé dans le dessin anatomique pour les publications scientifiques a eu l’idée d’appliquer son savoir faire directement sur le corps humain grâce au body painting. Des créations très précises et détaillées qui donnent l’illusions de voir à travers la peau ! Un excellent concept qui rappelle les livres d’anatomie de notre enfance…
le créateur russe Tauart réalise sur les corps des œuvres inspirées par l’univers de la science-fiction. Fasciné par les monstres et les mutants du 7e art, ce talentueux artiste parvient littéralement à métamorphoser le corps de ses muses en ceux d'extraterrestres effrayants qui n’ont rien à envier aux véritables monstres de cinéma. Artiste total et maquilleur accompli, Tauart ne se contente pas de peindre uniquement les peaux. Aussi souvent qu'il le peut, celui-ci joue aussi les coiffeurs professionnels en faisant de la chevelure de ses modèles une extension de son art et de son savoir-faire
Souvent éphémère le Land Art est exposé aux éléments et soumis
à l’érosion naturelle, ainsi, certaines oeuvres disparaissent
plus vite qu’elles n’ont été créées
Certain artiste réalise du street art en 3D dans le sable, d’autres comme Jim Denevan réalise à la main d’immense Land Art sur les plages. L’artiste Gunilla Klingberg a décidé d’aller plus vite et d’imprimer directement ses motifs sur le sable grâce à une imprimante géante composée d’un tractopelle et d’un énorme cylindre, sur lequel les motifs sont dessinés grâce à de vieux pneus de camion… Une installation réalisée sur la plage de Laga beach, pour la biennale Sense & Sustainability en Espagne.
http://www.ufunk.net/artistes/daim-sand-art/
Quand le street artist DAIM, réputé pour ses graffitis 3D et ses sculptures aux lettrages fat et torturés, part en vacances à la plage, ce n’est pas pour réaliser de vulgaires pâtés de sable… Un superbe graffiti 3D réalisé en sable dans le plus pur style de l’artiste DAIM sur une plage allemande de la mer du nord. Une sculpture qui aura nécessité 6 heures de travail pour être détruite en 30 minutes par la marrée montante. J’adore !
Coût de la construction: 98 millions de Livres, soit 980 millions d'€,
en se basant sur le chiffre proposé dans un article précédent
(budgets comparés de la France sous Louis XVI et la République)
10€ pour une livre, ce qui est largement surévalué.
A TITRE DE COMPARAISON :
Période contemporaine.
Budget du seul Palais de l'Elysée: 112 millions d'€ (2010) .
Construction de l'Opéra Bastille: 427 millions d'€ +530.000 € pour la pose de filets anti-chutes de matériaux (22 ans après son inauguration), + 12 millions d'€ pour sa mise aux normes. (toujours 22 ans après son inauguration!).
Arche de la Défense: 442 millions d'€ + 1 million de réparation
d'ascenseurs(le toit est dorénavant interdit au public !).
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Vue du château d’Etiolles avant sa destruction.
Le château d'Étiolles a été la résidence
de Mme de Pompadour depuis son mariage, jusqu’à quand elle s’installa à la cour.
Il avait été vendu à Charles le Normand le 12 décembre 1684 par Marie Lorthon,
restés veuve. Situé sur le bord droit de la Seine et confinant avec le foret de Menars,
où le roi allait à chasse. Dans le même foret Jeanne Antoinette se fit noter par le
roi pendant la chasse. Depuis le mariage, le château fut équipé d’un théâtre privé,
où Jeanne Antoinette fit ses premières représentations théâtrales.
Madame de Pompadour fait de fréquents séjours à Choisy à partir de 1746, et aura un appartement au premier étage au-dessus de celui du roi.
Louis XVI utilisera de moins en moins Choisy jusqu'à ordonner son démeublement en 1787. Pendant la Révolution, le château devient bien national, le roi conservant à son usage le Petit château. Il semble qu'un marchand de matériaux se porte acquéreur de certains lots afin d'en extraire les matériaux les plus vendables. Ne réglant pas son acquisition, il en est chassé.
Les précieux décors intérieurs n'auraient été démantelés que sous l'Empire, époque bien indifférente aux boiseries Louis XV dont on ne retrouve pas la trace.
Le déclin et la destruction, du xixe siècle au XXe siècle
Dépouillés, les bâtiments abandonnés tombent progressivement en ruine et seront emportés par l'installation du chemin de fer d'Orléans en 1839. Les beaux communs de Gabriel seront utilisés par la faïencerie Boulenger jusqu'à sa fermeture et ne disparaîtront que dans les années 1960, avec les vestiges du Petit château alors retrouvés par Georges Poisson. Conservateur du musée de l'Île-de-France, ce dernier, après une campagne de presse, propose à la ville le transfert des façades du Petit château dans le parc de Sceaux (à l'instar de celles du pavillon de Hanovre). La municipalité, après de longs atermoiements, ne donnera pas suite à cette proposition de sauvegarde. Elle ne s'opposera pas à la destruction de ces vestiges afin de laisser s'édifier un grand projet d'urbanisme inspiré des théories de Le Corbusier
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Construit par Louis Luigi XV sur les ruines de l’ancien château qu’il avait fait démolir. La majorité du matériau de construction fut pris de l’aqueduc inactive de Maintenon, fait construire par Louis XIV.
Il est donné à Madame de Pompadour en 1746. Mme de Pompadour le fit agrandir et embellir. En outre elle fit construire un hôpital-asile de vieillards pauvres tout près. Plus tard Madame de Pompadour vend le domaine au duc de Penthièvre, qui le revend en 1775 au prince de Montmorency.
En 1793 le domaine fut vendu parce qu’il appartenait aux émigrés et le château fut détruit. Des "boiseries" furent achetées par un restaurateur et servirent comme revêtement des maisons construites à Dreux.
Le château avait coûté environ 38 millions de Livres.
En 1753, Louis XV achète l'hôtel d'Évreux(aujourd'hui, Palais de l’Élysée)
et l'offre à son amie
La vente a lieu au Châtelet de Paris. M. Lenote est curateur, Me Melin, notaire ;
une estimation est faite par l'architecte Desmaisons, elle se monte à 730 000 livres
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Cette petite maison de plan carré est construite à côte du château de Fontainebleau en 1749, sur ordre de Louis XV. (De A.J. Gabriel, en Boulevard Magenta).
Le rez-de-chaussée comprend une salle à manger, un salon et un cabinet. L'attique abrite deux petits appartements, destines à Madame de Pompadour et à Madame d'Estrades.
En 1755 le pavillon est agrandi pour accueillir une salle à manger et un corridor qui le relie aux communs.
Une très grande attention est accordée à la disposition des jardins et des cours extérieures. Dans ce petit domaine complet, Madame de Pompadour élève poules et pigeons.
le pavillon de l’Hermitage à Fontainebleau à partir de 1754, qui possède des jardins dessinés par Lassurance
. Le 30 juin 1760 - la marquise de Pompadour fait l'acquisition, par acte passé devant Maîtres Alleaume et Delamanche, notaires à Paris, du château et du marquisat de Menars, de la terre de Nozieux et de toutes leurs dépendances, propriétés de Mesdames de Lastic et de Castellane. Le montant total de ce vaste domaine s’élève à 880 000 livres
Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars, née le à Paris et morte le à Versailles, est une dame de la bourgeoisie française devenue favorite deLouis XV, roi de France et de Navarre.
Le 23 février 1745 est célébré le mariage religieux du fils du roi, le dauphinLouis-Ferdinand, avec l'infante Marie-Thérèse d'Espagne. Des fêtes sont organisées pendant huit jours pour cet événement. Le 25 février a lieu dans la Galerie des Glaces au château de Versailles, un bal masqué où est invitée Jeanne-Antoinette, sous l'apparence de Diane chasseresse. Le roi et ses plus proches courtisans sont costumés en ifs et la cour observe que l'un d'entre eux s'entretient longuement avec cette belle inconnue. Les conversations se cristallisent autour de ce couple et l'on pense reconnaître le souverain. La scène est immortalisée par le peintre Charles-Nicolas Cochin et « ceux qui prononcent à mi-voix le nom de Mme d'Étiolles croient à un simple caprice » Trois jours plus tard, le 28 février, au cours du bal offert à l'Hôtel de ville de Paris par le corps municipal, nouvelle rencontre entre Madame d'Étiolles et le roi Louis XV13.
La légende veut que la marquise de Pompadour eut une passion pour la soupe de truffes et de céleri, arrosée de tasses de chocolat ambré. Ces aliments avaient la réputation d'être aphrodisiaques, « échauffant les esprits et les passions ».
Grande amatrice de champagne, dont Madame de Pompadour aurait dit, selon la légende, qu’il est « le seul vin qui laisse la femme belle après boire », elle favorisa sa consommation à Versailles (il avait été introduit à la cour sous la Régence). Une légende veut que la première coupe à champagne ait été moulée sur son sein5
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Pour moi, la passion pour lé vélo, le sport en général, la photo, puis le cinéma, le jardinage, le bricolage, la nature (faune, flore ...)pour mon épouse, l'équitation, les voyages, la cuisine, le cinéma, la décoration, le jardinage, la lecture, la faune, la flore etc... et chez l'humain, l'honnêteté, la sincérité, et je déteste l'hypocrisie, la sournoiserie, la fourberie...