Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 janvier 2016 6 30 /01 /janvier /2016 10:53
BRIOCHE TRESSEE facile à réaliser (et petit histoire de la brioche)

J'AI ENFIN TROUVE UNE RECETTE DE BRIOCHE  A FAIRE MAISON

SANS AUCUNES DIFFICULTES.

 

Voici la recette :

 

 

Brioche tressée (pâte à l'aide du companion)- mais un autre robot peut le faire.

17 Janvier 2016 , Rédigé par Myli BreizhPublié dans #pâtes#companion

Brioche tressée (au companion)

1ère essai très concluant, j'ai ajouté un peu de sucre vanillé.

elle a bien gonflée et elle est légère.

Mais prochaine fois j'ajouterai un peu plus de beurre et plus de vanille pour le goût

et la texture.

 

                             Afficher l'image d'origine

PETITE HISTOIRE DE LA BRIOCHE

Des formes rondes et généreuses, un ventre rebondi, un tressage doré… La brioche est joufflue, et on l’aime comme ça, avec une mie filante qui se détache comme une barbe à papa, une belle couleur jaune grâce à la présence d’œufs et de beurre, et un parfum d’eau de fleur d’oranger, de rhum ou d’eau-de-vie. Un vrai plaisir régressif que l’on déguste à la sortie du four, avec un soupçon de beurre ou de confiture…

Des origines lointaines

L’origine de la brioche remonterait au Moyen Âge, où l’on retrouve des recettes à base de farine, de levure, de beurre, de lait et d’œufs. Elle faisait alors partie des gâteaux de fêtes que l’on servait aux grandes occasions : baptêmes, mariages, communions… L’origine de son nom reste en revanche un mystère. Parmi les hypothèses les plus crédibles, on peut penser que « brioche » dérive du verbe « brier », soit « broyer » en normand, employé au sens de « pétrir avec un rouleau en bois ». Le suffixe « -oche » ayant été rajouté pour indiquer le résultat de l’action. D’autres hypothèses évoquent le fait que la brioche aurait pu être une spécialité des habitants de St-Brieuc (les briochins).

Partager cet article
Repost0
17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 09:54
http://www.paris-brest.fr/durand_et_fils_createur_du_paris-brest_depuis_1909/historique.html
http://www.paris-brest.fr/durand_et_fils_createur_du_paris-brest_depuis_1909/historique.html
http://www.paris-brest.fr/durand_et_fils_createur_du_paris-brest_depuis_1909/historique.html
http://www.paris-brest.fr/durand_et_fils_createur_du_paris-brest_depuis_1909/historique.html

http://www.paris-brest.fr/durand_et_fils_createur_du_paris-brest_depuis_1909/historique.html

Le Paris-Brest est une pâtisserie d'origine française, en forme de couronne, composée d'une pâte à choux fourrée d'une crème mousseline pralinée, garnie d'amandes effilées.

C'est un pâtissier de Maisons-Laffitte, Louis Durand, inspiré par la course cycliste entre Paris-Brest-Paris créée en 1891, course pour laquelle le créateur Pierre Giffard lui demande de faire un gâteau en forme de roue de bicyclette, qui est à l'origine du gâteau en 1910.

La forme du Paris-Brest est bien censée représenter une roue en référence à la course cycliste. Quelques pâtissiers perpétuent d'ailleurs la tradition des grands Paris-Brest comportant, comme à l'origine, des rayons en pâte à pain. Vendus à la coupe, ils peuvent atteindre des dimensions de 30 à 50 centimètres de diamètre.

Ces portions ont également inspiré la création tardive de Paris-Brest de forme rectangulaire.

En allant visiter le château Dimanche, nous avons été en acheter. Effectivement ils sont délicieux, une bonne crème, juste sucrée comme il faut, et légère, légère. Hummmm,

ne passez pas Maisons-Laffitte sans aller dans cette pâtisserie.

Paris-Brest-Paris - origine de la course et de sa pâtisserie

1891, premier Paris-Brest-Paris

 

Pierre Giffard, directeur duPetit Journal, crée la course.

En 1891, le Petit Journal de Petit organise le premier Paris-Brest-Paris. Pierre Giffard, directeur du journal, souhaite démontrer le caractère pratique de la bicyclette par une course de 1 200 km. Les bicyclettes ont été plombées avant la course pour contrôler l’utilisation d’une seule et même machine par les participants. Les étrangers et les femmes n’étaient pas autorisés à participer à cette épreuve. C'est un vrai succès au regard des plus de 400 inscriptions. 206 cyclistes s’élancent le 6 septembre, y compris 10 tricycles, 2 tandems et un grand-bi monté par M. Duval.

Paris-Brest-Paris - origine de la course et de sa pâtisserie

Charles Terront, premier vainqueur de la course en 1891, 1re page du Petit Journal

Des amateurs et des professionnels participent à cette édition avec des soigneurs, des mécaniciens et surtout des entraîneurs. Les machines sont montées avec des pneus en caoutchouc creux ou des pneumatiques gonflables, ceux-ci faisant leur apparition et se montrant plus légers et plus performants. 16 points de contrôle sont prévus pour ce que le journal annonce « la course nationale de bicyclette… ». Charles Terront gagne la course, roulant sans dormir durant 71 h 22 avec une moyenne de 17,590 km/h à l’aller et de 16,780 sur le chemin du retour. Jiel Laval est second, à plus de huit heures derrière Terront, et Henry Coulliboeuf est troisième. 100 cyclistes terminent, certains après plusieurs jours, en s'arrêtant dans des auberges pour la nuit.

La première édition de 1891 eut à souffrir de défauts rédhibitoires, comme l'impuissance des contrôleurs à réduire les fautes évidentes et la confusion née de l'annonce de l'épreuve comme une course de machines. Ainsi, plusieurs concurrents se firent relayer, ce qui entraîna leur élimination.

Le vainqueur avait été embauché par Édouard et André Michelin afin de promouvoir leur toute nouvelle invention de pneumatique démontable pour vélo. Cette victoire permit un succès commercial de ce pneu.

1901, la course devient internationale

Henri Desgrange, le directeur du journal L'Auto, a été coureur avant sa carrière de journaliste ; ici, dans une course en 1936

 

HENRI DESGRANGE

HENRI DESGRANGE

http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/
http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/
http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/
http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/
http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/
http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/

http://www.oldbike.eu/museum/bikes-1800s/1898-1899/1899-bicyclette-maurice-garin/

Maurice Garin, le vainqueur de 1901

En 1901, l'organisation est reprise par L'Auto-Vélo, récemment fondé par Henri Desgrange, qui recherchait une épreuve d'envergure pour lancer son journal. La course devint internationale et deux catégories furent créées : les coureurs de vitesse, 25 partants, et les touristes-routiers (les ancêtres des randonneurs), 114 partants.

Les randonneurs amateurs existent déjà, mais ils ne s’étaient pas encore lancés dans de telles aventures. Comme en 1891, on autorise les participants à avoir des entraîneurs. À 4 h 53 le 16 août, 41 coureurs s’élancent, suivis 17 minutes plus tard des touristes- routiers. Maurice Garin gagne en 52h11, battant Gaston Rivierre de 1 h 55. Hippolyte Aucouturier, le Suisse Michel Frédérick et l’Américain Charly Miller terminent dans cet ordre. Rosière est le premier touriste-routier en 62 h 26. 72 terminent, y compris Pierre Rousset, le plus âgé avec 65 ans, qui effectue le trajet en 202 heures.

Le succès de la course décida Henri Desgrange à l'organiser tous les dix ans.

1911, changement des règles

Les règles sont modifiées. Les entraîneurs et l’assistance entre les contrôles sont interdits mais les coureurs peuvent changer de vélo. Seuls les touristes-routiers ne peuvent pas effectuer de changement de vélo ; pour éviter toute tentative de triche, ils sont donc encore plombés. Les coureurs modifient leur stratégie et restent en peloton jusqu’à Brest. 13 coureurs et 120 touristes-routiers participent à cette édition. Le gagnant est Émile Georget en 50 h 13, battant Octave Lapize de 21 minutes. Ernest Paul est troisième à 35 minutes et Henri Cornet finit quatrième. Le premier touriste-routier est Pierre Heusghen, qui est ensuite éliminé pour avoir reçu de l'aide en cours de route. Auguste Ringeval et Maurice Garin (qui était coureur en 1901) deviennent les gagnants dans cette catégorie.

1921

Le 2 septembre 1921, 43 coureurs et 63 touristes-routiers participent à la course. Le nombre de contrôles secrets est augmenté. Le Belge Louis Mottiat gagne en 55 h 7 min 8 s. Eugène Christophe, Pierre Heusghem, Masson, et Sellieer terminent ensuite dans cet ordre. Le huitième arrivant est le touriste-routier Ernest Paul en 62 heures. Il était coureur lors de la précédente édition.

1931, arrivée des randonneurs allure libre

En 1931, 28 coureurs et plus de 150 touristes sont inscrits (64 allure libre et 91 audax).

L'Australien Hubert Opperman gagne en 49 h 23 dans un sprint final, battant Marcel Bidot. Il y avait 64 randonneurs allure libre inscrits ; 62 se sont élancés du café « Le Mauco » à Paris le 2 septembre à 22 h et 44 ont terminé, malgré la pluie et du fort vent d’ouest. Dans les arrivants figuraient 4 tandems mixtes, un tandem homme et deux femmes en solo (dont une arrivée 35 minutes après le délai et non homologuée). Comme l’ACP et l’UACP étaient deux clubs rivaux et que les blessures du schisme de 1921 n’étaient pas refermées, on note avec plaisir que l’UACP ramène avec difficulté 20 arrivants à Paris. Alexis Cottard, Gaston Ruard et Julien Tranchant finissent ensemble en 68 h 30 ; le quatrième arrive 50 minutes plus tard. Le cinquième, Louis Cointepas, finit 2 heures plus tard. Le sixième et le septième arrivent 2 h 20 après le premier et ensuite, il faut attendre plus de 10 heures. M. et Mme Danis terminent meilleur tandem mixte en 88 h 10, 25 minutes avant Louis et Juliette Pitard. Quatre femmes terminent en tandems mixtes (Danis, Pitard, Gorgeon et Du Bois) et Mlle. Vassard devient la première femme solo à terminer PBP en 93 h 25. Les Pitard reviendront en 1948 et 1951.

Pour des raisons évidentes, il n'y a aucun PBP en 1941. Le président ACP, Pierre Bontemps, décide de le remplacer par une édition en 1948 puis par une autre en 1951 pour reprendre le rythme décennal.

1948

Les PBP 1948 et 1951 voient la fin des coureurs professionnels, avec une baisse irrémédiable de leur participation.

En 1948, ils sont 52 à s’élancer mais seuls 11 terminent. Albert Hendrickx gagne dans un temps de 41h36mn42s.

1951

En 1951, seulement 41 coureurs répartis dans 10 équipes sont inscrits et Maurice Diot gagne en 38 h 55, le record absolu mais le nombre de participants randonneurs progresse2.

Après 1951L'Équipe ne peut plus organiser l'épreuve par manque de participants. L’organisation de la course professionnelle a eu lieu en 1956 et 1961 mais a ensuite été déprogrammée en raison du manque d'intérêt.

Les randonneurs, cependant, ont perpétué la tradition, tant avec la formule Paris-Brest-Paris randonneur qu’avec la formule Paris-Brest-Paris Audax. Si la compétition a disparu, l'esprit d'origine est conservé grâce à ces deux organisations, la volonté d'aller au-delà de ses capacités supposées ou l'envie de participer au plus grand événement mondial de la randonnée longue distance.

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 12:43
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés

La magie de Noël est très puissante.

Un jour, quelqu'un y ajouta le Père Noël.

Cela remplit le coeur des enfants de joie.

A chaque Noël, le Père Noël apporte des cadeaux par milliers !

Toutes les familles se réunissent autour

d'un excellent repas et après avoir mangé,

les enfants et même parfois les parents,

ouvrent leurs cadeaux.

Très vite, Noël fut adoré par les enfants.

Chacun à sa manière, Noël sera une fête

connue de tout âge, pour tous les enfants sages !

 


Read more at http://www.jedessine

les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés
les enfants à noël - cartes anciennes et dessins animés

1H12MN58S

32MN28S

48MN02S

1H09MN40S

23MN25S

Partager cet article
Repost0
2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 10:17

Le nom croque-monsieur est invariable selon l'orthographe traditionnelle. On trouve néanmoins parfois l'orthographe croque-messieurs, comme dans le Dictionnaire Quillet de la langue française, édition de 1965

 

 

Il serait apparu pour la première fois en 1910 au menu d'un café parisien boulevard des Capucines.

L'origine du mot reste néanmoins inconnue, même si certains avancent plusieurs théories, la plus répandue étant que le bistrotier du café ait lancé sous forme de boutade que la viande à l'intérieur du sandwich était de la chair humaine.

Marcel Proust en fait mention dans « À l'ombre des jeunes filles en fleurs »  paru en 1919 :«Or, en sortant du concert, comme, en reprenant le chemin qui va vers l'hôtel, nous nous étions arrêtés un instant sur la digue, ma grand'mère et moi, pour échanger quelques mots avec madame de Villeparisis qui nous annonçait qu'elle avait commandé pour nous à l'hôtel des croque-monsieur et des œufs à la crème...»

 

Lors de la première séance du dictionnaire de l'Académie française à laquelle Louis Leprince-Ringuet a assisté, il a été discuté du mot croque-monsieur. La définition retenue a été : «Mets composé de deux tranches de pain de mie entre lesquelles on a placé du jambon recouvert de fromage et que l'on passe au four».

 

De retour chez lui, Madame Leprince-Ringuet lui fit remarquer que c'était bien la preuve que cette assemblée était uniquement masculine, puisque, comme toutes les femmes le savent, un croque-monsieur ne se cuit pas au four, mais au moyen d'un ustensile ménager spécifique. À la session suivante, Louis Leprince-Ringuet montra cet ustensile à ses collègues. Malgré cette démonstration amusante, la définition est restée inchangée.

 


Partager cet article
Repost0
28 décembre 2013 6 28 /12 /décembre /2013 10:06

COQ2

 

 

Pêchée dès le Moyen-Age, notre belle et délicieuse coquille devient vite le symbole des Pèlerins

de Saint-Jacques de Compostelle. De cette vénération elle gardera un nom : coquille Saint-Jacques.

 

Aujourd’hui la Baie de Saint-Brieuc en est devenue le principal gisement de pêche en France.

 

Nature ou cuisinée, la coquille Saint-Jacques offre toujours le meilleur d’elle-même. Juste pochée,

poêlée ou marinée, elle reste délicate et raffinée. Ses saveurs subtiles et parfumées n’ont d’égales

que ses qualités nutritionnelles.

 

La coquille Saint-Jacques de la Baie de Saint-Brieuc : la pecten maximus

 

La coquille Saint-Jacques (nom scientifique pecten maximus) est un mollusque bivalve.

À coquilles inégales, elle est aisément reconnaissable par une valve supérieure totalement

plate et pourvue de côtes. Elle est de couleur rouge à brun. Elle vit essentiellement dans les

espaces sablonneux. C’est un animal filtreur qui se nourrit exclusivement de plancton.

Sa taille commerciale minimum est de 10 cm (10,2 cm pour celles de la Baie de Saint-Brieuc).

Elle peut être atteinte en 2 ou 3 ans mais sa croissance est intimement liée à la richesse en

plancton du milieu dans lequel elle évolue. La particularité de notre coquille est d’être coraillée l’été

De novembre à avril, pendant la campagne de pêche, elle porte l’appellation

de « coquille blanche» (sans corail).

 

Le gisement est tel que les producteurs locaux, soutenus par un partenaire privé, ont construit

un atelier de décorticage moderne permettant d’absorber une partie de la pêche et éviter ainsi

les à coups d’une éventuelle surproduction. Sa pêche est très courte (2 sorties par semaine

de 45 minutes chacune).

 

La principale technique employée pour sa pêche est celle de la drague, armature métallique

qui permet de fouiller le fond et de déterrer, puis récupérer les coquilles enfouies.

La règlementation du diamètre minimum des anneaux (92 mm en 2004, pour la Manche),

permet de limiter la prise de juvéniles.


En France, les principaux ports de pêche de la coquille Saint-Jacques sont :


- sur le littoral du Pas de  calais : ÉtaplesBoulogne-sur-Mer, -

- sur le littoral normandDieppe et FécampPort-en-BessinGrandcamp

 Saint-Vaast-la-Hougue et Granville.  

 

La Normandie représente plus de la moitié de la production française, c'est la première région

française de pêche de coquille Saint-Jacques (Pecten maximus) et elle a obtenu deux 

labels rouges : pour la coquille en 2002 et pour la noix en 2009.

La moitié environ de la production étant vendue hors criée, de gré à gré.

 

 

Enfin sur le littoral breton, la baie de Saint-Brieuc avec les ports d'ErquyLoguivy-de-la-Mer 

 et Saint-Quay-Portrieux représente plus de 6 500 tonnes soit presque la moitié de la production

française (16 000 tonnes au total par an). 

 

A SAVOIR :

 

Dans l'industrie alimentaire, les termes Saint-Jacques et noix de Saint-Jacques peuvent

être utilisés pour désigner les noix d'autres pectinidés : pétoncles pêchés au Canada 

 et en Nouvelle-Angleterre (Placopecten magellanicus ou Chlamys islandica), en Australie,

au Chili (Pétoncle chilien), au Pérou, pétoncles pêchés ou élevés en Asie (ChineJapon) (Patinopecten yessoensis), de la région d'Hokkaido... Ceci est tout-à-fait légal, les besoins de l'industrie,

en particulier en petites noix, dépassant de loin les apports français et même européens.

Le nom scientifique et le pays d'origine sont obligatoirement indiqués dans la liste d'ingrédients.

Il convient de bien vérifier la mention « Pecten maximus ».

 


Partager cet article
Repost0
11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 10:46

Le biscuit à la cuillère aurait été inventé par les cuisiniers de Catherine de Médicis qui auraient eu l'idée de confectionner leurs biscuits aux œufs en utilisant deux cuillères pour écarter la pâte à partir du centre, pour ne pas abîmer la pâte — d'où leur forme et leur nom      .

Partager cet article
Repost0
14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 10:51

ORIGINE DE LA TARTE TATIN

 

 

tarte_tatin

 

 

 

Il était une fois, au tournant du siècle, deux demoiselles, Caroline et Stéphanie Tatin, qui tenaient à Lamotte-Beuvron, face à la gare, un hôtel fort achalandé.

Les chasseurs notamment, gens difficiles et blasés appartenant à une élite gourmande, appréciaient la saveur et les inventions inépuisables de la cuisine des Demoiselles Tatin.

 

Un jour, retardée dit-on, par le bavardage (?) d'un client trop galant, Stéphanie (à moins que ce fût Caroline) surgit dans la cuisine en plein "coup de feu " et s'affola de l'absence de dessert. 

Remarquant des pommes épluchées, elle garnit rapidement un moule de beurre et de sucre, y jeta les pommes et mit au four. 


Reprenant plus tard ses esprits, elle comprit sa distraction : 

 

apparemment ce n'était ni une tarte ni des pommes cuites. 

 

Que faire ? 

 

Les pommes ont commencé à cuire, l'odeur de caramel se répand, le service avance : 

il est trop tard pour reculer. 

Elle prend un peu de pâte, l'abaisse, la dispose sur les pommes et renfourne. Au moment de servir, consternation, hésitations ! 

Comment rendre présentable un tel mélange, par ailleurs fort appétissant ? 

 

C'est là qu'intervient le génie : 

 

elle prend un plat, en coiffe le moule et retourne le tout... 

 

histoire de voir... 

 

Et on a vu : 

fumant, odorant, goûteux, le résultat est là... 

on le déguste, on le sert, on se récrie, on en redemande. 

Telle est la légende de l'origine de la Tarte Tatin.

 

On peut aussi penser, et c'est peut-être plus flatteur pour le talent des Demoiselles Tatin, 

qu'elles trouvèrent ce procédé pour utiliser les pommes tardives de leur verger transformant grâce au beurre et au sucre en un délicieux caramel le jus un peu acide qui eut imprégné la pâte plus ou moins épaisse d'une tarte ordinaire.Toujours est-il que, distraction géniale ou art culinaire consommé, la TARTE DES DEMOISELLES TATIN emporta l'approbation des gourmets ; 

le premier d'entre eux, Curnonsky, l'ayant goûtée, lui donna, avec ses lettres de noblesse, son passeport gastronomique mondial.

 

Source le Marmiton

Partager cet article
Repost0
28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 17:21

                         

L'origine du pain d'épice remonte très loin dans l'histoire :
déjà du temps des anciens égyptiens l'on consommait un pain au miel, puis le grec Aristophane fait mention du "melitounta" à base de farine de sésame et enduit

de miel tandis que "Athénée" vente le "melilates" fabriqué à Rhodes.

                                                      

Pline l'ancien rapporte que les romains connaissaient le "panis mellitus",

un pain frit arrosé de miel, cependant ce n'étaient que des précurseurs du

pain d'épices actuel.

 

 

Le pain d'épice tel que nous le connaissons aujourd'hui aurait pour origine

le Mi-Kong, littéralement pain de miel en chinois, déjà consommé au Xème siècle

et fait à partir de farine de froment, de miel et quelquefois relevé de plantes aromatiques. Des textes du XIIIème siècle citent le Mi-Kong comme faisant partie

des rations de guerre des cavaliers de Gengis Khan qui le répandirent chez les

arabes....

 

Si la suite vous intéresse vous la trouverez sur  :

http://www.paindepices-lips.com/pain-epices

 

voir également : 

http://www.paindepices-lips.com

et le musée du pain d'épices :  épisode n°1

 

    Gif alimentation gateaux 137061

 

 

Extrait d'un des comptes de Hansel et Grétel :

...

En approchant encore, ils virent que la maisonnette avait des murs de pain d’épices et un toit de biscuit ; quant aux fenêtres, elles étaient de sucre filé.

-Nous allons croquer dedans, que c’en est une bénédiction ! Moi je mange un bout de toit, dit Hansel, et toi, tu peux manger de la fenêtre, c’est tout sucré.

Il se mit sur la pointe des pieds pour atteindre le toit et en cassa d’abord un bout pour voir si c’était bon, tandis que Gretel s’agrippait à la fenêtre et se mettait à en grignoter. Alors une douce voix sortir de l’intérieur :

Et j’te grignote et grignotons,
Qui me grignote ma maison ?

Tranquillement, les enfants répondirent :

C’est le vent, c’est le vent, 
C’est le céleste vent.

Et ils continuèrent ainsi à manger sans se laisser troubler ni déranger.

Hansel, qui avait trouvé le toit fort à son goût, s’en cassa du coup un bon morceau, et Gretel, de son côté, avait ôté de la fenêtre toute une belle vitre ronde, s’était assise par terre et s’en régalait de tout son soûl.

...

VOUS TROUVEREZ LA RECETTE D'UN DELICIEUX PAIN D'EPICE TRES LEGER

DANS LA RUBRIQUE DESSERTS.

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de veloliberte92et22.over-blog.com
  • : Pour moi, la passion pour lé vélo, le sport en général, la photo, puis le cinéma, le jardinage, le bricolage, la nature (faune, flore ...)pour mon épouse, l'équitation, les voyages, la cuisine, le cinéma, la décoration, le jardinage, la lecture, la faune, la flore etc... et chez l'humain, l'honnêteté, la sincérité, et je déteste l'hypocrisie, la sournoiserie, la fourberie...
  • Contact

Recherche

Pages

Liens